Sur le marché des Particuliers, le fonds de commerce progresse de + 4,2 %. L’épargne bilancielle (3) est en croissance de + 6,7 % et la collecte nette d’assurance-vie reste positive. Les crédits (3) sont en hausse de + 10,1 %.
Sur le marché des Professionnels, le nombre de comptes à vue progresse de + 1,8 %. Leurs dépôts bilanciels (3) augmentent de + 10,8 % et leurs crédits (3) de + 6,2 %.
Sur le marché des Entreprises, le nombre d’Entreprises actives enregistre une évolution de + 4,7 %. Les dépôts bilanciels (3) croissent de + 12,0 % et les crédits (3) de + 15,8 %.
Le total des actifs gérés (3) est en légère hausse (+ 0,2 %). La conservation (3) (OPCVM et titres détenus en direct par la clientèle) recule de – 20,7 % ; elle enregistre la forte baisse des marchés financiers et les arbitrages des clients vers d’autres supports d’épargne. A contrario, les dépôts bilanciels (3) sont en hausse de + 10,2 %, l’assurance-vie (3) de + 4,3 % et les Bons à Moyen Terme Négociables (3) de + 1,6 %.
Le total des crédits(3) progresse de 10,1 %, témoin du fort engagement de la Banque pour accompagner sa clientèle.
Le PNB comptable du 2ème trimestre 2012 s’élève à 31,8 M€ (soit + 0,4 % vs 2ème trimestre 2011 et + 2,4 % hors variation de la provision PEL/CEL).
Le PNB économique (1) du 1er semestre 2012, est en croissance de + 1,9 %. La marge d’intérêt est en hausse de + 3,0 %. Les commissions reculent de – 2,2 % et sont principalement affectées par l’évolution défavorable des marchés financiers.
Le RBE comptable est en repli ; ceci s’explique par l’impact, depuis le 1er juillet 2011, de la généralisation au sein du Groupe Crédit du Nord de la facturation de la totalité de ses frais de structure à ses filiales, qui a représenté 6 M€ de charges nouvelles au 1er semestre 2012.
Le RBE économique (2), sur la base du PNB économique (1), et en retraitant les frais généraux de ces frais de structure additionnels, progresse de +.3,5 %.
Le coût du risque est en légère progression, mais ne représente que 0,56 % du total des crédits (contre 0,58 % au 1er semestre 2011). Dans un contexte économique plus incertain, la banque a volontairement renforcé sa provision générale pour risques de crédit.
Le bénéfice net du 1er semestre 2012, après 5,5 M€ d’impôts sur les sociétés, s’établit à 10,4 M€.
A l’issue du Conseil de Surveillance du 26 juillet 2012, Jean DUMONT, Président du Directoire, déclare : « Dans une conjoncture boursière médiocre et un environnement économique qui se dégrade, la Banque Tarneaud affiche une bonne résistance grâce à son modèle de banque régionale de proximité et confirme jouer pleinement son rôle de banquier de l’économie locale. »
1. Hors variation Provision PEL / CEL.
2. Hors variation Provision PEL / CEL et charges de structure additionnelles.
3. Encours moyens semestriels.